samedi 26 avril 2008

...cinquante années s'effritent entre mes doigts en poussière pure et chatoyante." V. Nabokov

1 commentaire:

Antoine a dit…

D'où je suis on ne voit rien de ses années. Ce sont plutôt les cinquante ans à venir qu'on entrevoit. Qu'on devine, que l'on n'espère même plus parce qu'elles seront là. Dans longtemps.